De l'impossibilité de juger
"J'ai fait un grand geste de la main. Je ne juge pas ! Je ne juge personne, ai-je dit. Et c'était vrai. Parce qu'il est impossible de savoir certaines choses, parce que je ne ferai jamais l'expérience des pressions que certaines personnes ont subies pendant les années de guerre, des choses inimaginables qu'il a fallu faire, en raison de tout cela, je refuse de juger. [...]. J'ai dit, je veux souligner que mon propos n'est pas de juger. Je ne juge personne. Je ne peux pas être en 1942, je ne sais pas ce que c'était, les gens on fait ce qu'ils ont fait, ils étaient soumis à des pressions et à un stress inimaginables".